VOILE – COMMUNIQUE DE PRESSE – Mardi 27 mars 2007

Le futur Groupe Bel 60’ naît en Toscane
En vue du Vendée Globe 2008-2009, les concurrents de la Classe IMOCA mènent actuellement une course à l’armement record. Le Groupe Bel et Kito de Pavant se sont engagés dans cette compétition avec ambitions. Pour le skipper, c’est l’heure de s’entourer et de poser son jeu. Après le choix du cabinet Van Peteghem-Lauriot Prévost associé à l’architecte Guillaume Verdier pour le design du futur Groupe Bel, l’équipe a sélectionné le chantier italien Indiana Yachting pour sa mise en œuvre.

Tout le monde connaît La vache qui rit®, Kiri®, Mini Babybel®, Leerdammer® ou Apéricube®. Avec une vingtaine d’autres marques de fromages appréciées aux quatre coins du globe, Bel est le leader mondial de son métier. Un succès que le groupe désire communiquer et partager grâce à un engagement fort, celui du skipper Kito de Pavant et de son équipe dans la compétition et l’aventure de la course au large.

Déjà tant de chemin parcouru depuis que le chrono a été déclenché en septembre dernier. Première haie à franchir : la construction d’un nouveau monocoque de 60 pieds mis à l’eau en juillet. Premier but à marquer : la Transat Jacques Vabre en novembre (le Havre - Salvador de Bahia au Brésil). Avant la grande ruée sur l’Atlantique, la course se joue à terre. Chaque semaine, de nouvelles décisions à prendre ; il faut avancer vite et bien, traquer l’erreur et savoir jusqu’où se démarquer et innover pour performer. Une équation aussi complexe que passionnante.

La Toscane pour berceau
La construction du plan Van Peteghem-Lauriot Prévost & Guillaume Verdier a débuté en décembre chez Indiana Yachting. A quelques encablures de l’Ile d’Elbe, sur la côte de la majestueuse Toscane, Lorenzo Puccini a créé ce chantier il y a quatre ans. Ce francophile est impliqué dans la construction navale depuis les années 80 et a notamment travaillé cinq ans à la construction des quatre Class America du team Prada pour l’America’s Cup 2000 et 2003. Kito explique le choix de ce chantier qui n’est pas dans la « boucle » habituelle des constructeurs de monocoques IMOCA : « Nous avons été séduit par leur méthode et leur capacité à répondre pertinemment à notre problématique. Ils nous permettent également de travailler avec des fournisseurs italiens issus de l’America’s Cup, la Formule 1 et l’aéronautique. Cette approche pragmatique a été renforcée par leur très grande motivation à s’investir pour notre projet. » Pour Bel : « Le choix d'un chantier italien n'était pas dans le cahier des charges du sponsor ! Et pourtant, le temps venu de l'analyse des forces en présence capables de répondre à notre agenda dans des conditions optimales, Indiana Yachting s'est imposé logiquement. En Italie, en France ou ailleurs, la mobilisation autour du "navire amiral" de Bel et de ses marques a la même force et ce projet rayonne déjà hors de l'hexagone : nos filiales européennes et internationales sont progressivement saisies du même enthousiasme à mesure que l'échéance de la mise à l'eau approche » explique Guillaume Jouët, directeur de la communication du groupe.

Du bois au carbone
La coque de Groupe Bel est réalisée en moule « femelle ». L’équipe d’Indiana Yachting a donc construit une préforme en bois sur laquelle a été fabriqué le moule de carbone dans lequel la coque du bateau naît actuellement. A Mauguio, à l’ombre d’un mas camarguais, Kito et deux de ses acolytes ont fabriqué une maquette en bois du cockpit et de l’intérieur du bateau à l’échelle 1. Cette étrange mécanique comme un grand « vaisseau - cabane » ferait rêver plus d’un enfant. De faux winchs en polystyrène, une fausse antenne satellite en aggloméré, des barres et une table à carte en contreplaqué, tout a été reproduit avec les volumes exacts pour effectuer grandeur nature les futures manœuvres et s’imaginer vivre seul à bord pendant près de trois mois. Enchanté de cette expérience, Kito explique : « L’objectif premier de cette maquette est de valider le choix de l’accastillage et l’ergonomie du bateau. Avec la forte concurrence sur le prochain Vendée Gobe, il faudra pousser les bateaux encore plus loin et passer beaucoup de temps sur le pont et à la barre. Nous voulions bien prendre en compte cette nouvelle donne et je suis satisfait du résultat. »

La "Tchiiz Team" en ordre de marche
Kito n’est évidemment pas seul au pied de la montagne. Bel a réuni autour du skipper une équipe de managers issus de différentes branches du groupe qui l’épaulent au quotidien dans son entreprise. Kito a également constitué son équipe technique en s’entourant de personnes avec lesquelles il est déjà très lié. A commencer par Françoise Velland, sa compagne, en charge de la comptabilité et de la gestion. Christophe Ramboz, ancien dirigeant de Vivendi Universal Games et premier sponsor de Kito, assure le management général du projet. A la direction technique, Pierre Tissier (America’s Cup : défis français 2000 & 2003, Alinghi - course au large : Voilà.fr, Lorimat, Groupama 2 & 3) suit la construction du futur Groupe Bel en Italie. Hervé Giorsetti, un proche ami de Kito, a en charge le mât, le gréement, la motorisation et l’équipement. Quant à Brice de Crisenoy, rencontré par Kito à Nouméa lors d’un convoyage et depuis préparateur assidu du Figaro Groupe Bel, il assurera l’important rôle de "Boat Cap’tain" du 60 pieds. Emilie Petitbon, étudiante en génie mécanique et matériaux à l’Université de Bretagne Sud, renforce actuellement le bureau d’études.
Si vous avez raté le début
Kito de Pavant a couru pendant six ans en Figaro et remporté les trois épreuves majeures du circuit : la Solitaire en 2002, la Transat Ag2r et la Solo Méditerranée en 2006. Le skipper a aussi navigué en 60 pieds et participé trois fois à la Transat Jacques Vabre : avec Bernard Gallay en 2001 (monocoque) et deux fois avec Jean Le Cam en 2003 et 2005 (en trimaran 60’ puis en mono 60’). Le Groupe Bel a rejoint le skipper sur l’aventure Figaro en 2005. Suite aux brillants succès sportifs et à la résonance du projet en interne comme en externe, Bel s’est engagé pour quatre ans avec Kito sur le circuit IMOCA et notamment le Vendée Globe 2008-2009. LE GROUPE BEL
> N°1 mondial des fromages en portions, avec des marques incontournables comme La vache qui rit®, Kiri®, Mini Babybel®, Leerdammer® et Apéricube® et une vingtaine de marques nationales fortement implantées sur leur marché respectif.
> Présent dans 120 pays
> Près de 9 000 collaborateurs dans le monde
> Chiffre d’affaires en 2006 : plus de 1,8 milliards d’euros

PLANNING 2007
26 mai au 17 juin : Cap Istanbul (Marseille – Istanbul) avec Thierry Duprey de Vorsent à bord du Figaro « Domaine du Mont d’Arbois » (Ex-Groupe Bel-Karper)
Juillet : mise à l’eau de Groupe Bel en Italie
Septembre : qualification en double pour la Transat Jacques Vabre
3 novembre : départ de la Transat Jacques Vabre au Havre pour les monocoques 60’ Open

Communiqué de presse

Allez voir ce lien aujourd'hui apres il sera trop tard.... http://www.courseaularge.com/articles/6567/Groupe-Bel-un-60-pieds-a-l-italienne.html

Happy birthday...

...to me!

Merci a ceux qui m'ont envoyé un petit mot et à Pierre, Julia et Brice qui m'ont emmené au resto. Delicieux les 'frutti di mare'!! :-p

A+ pour+

Bella Giornata…

Vendredi soir nous sommes allés boire un coup et manger en ville avec des gars du chantier… français, australiens et une brésilienne ! Finalement je crois pas que je vais repartir d’ici en ayant appris beaucoup d’Italien, je fais que parler français ou anglais et j’arrive à me faire comprendre partout…

Samedi, nous sommes allés (avec Brice, mon colloc) à pise. Je voulais être sure que la tour penchait bien, que c’était pas juste un attrape touriste ! Elle penche définitivement mais c’est un vrai attrape touriste ! A peine arrivé Piazza Dei Mirocoli que tu te fais harceler par des Africains qui te vendent des Kleenex, des briquets, des sacs LV, des ceintures D&G, des montres Rolex, j’en passe et des meilleurs ! Une fois passé de l’autre coté, ça va mieux, ils te lâchent. Les bâtiments en marbre sont imposants, ils sont 4 : la tour, le Duomo, le cimetière, et le baptistère. La tour a commencée à être construite en 1174 par Pisano et terminée en 1350 elle continue de pencher d’un millimètre supplémentaire par an.
Gallilée (l ‘astronome, né à Pise en 1564 (1642)) a utilisé le Dome pour déterminer les lois du mouvement oscillatoire du pendule et la mesure de sa période. Il s’est aussi servi de la tour pour étudier la loi de la chute des corps et de l’accélération de la pesanteur. Il a défendu la théorie de la rotation de la terre autours du soleil, mais suite à des problèmes avec les scolastiques il a du abjuguer sa doctrine devant un tribunal en ajoutant désespéré : ‘Et pourtant elle tourne…’
Quand a savoir pourquoi la tour penche, il y a l’air d’avoir plusieurs versions mais pas d’officielle. Un affaissement de terrain, des fondations mal faites, l’architecte qui voulait se montrer plus fort que les autres ??? sais pas !
Ensuite nous sommes allés nous promener dans le centre de Pise qui est très animé et vivant (c’est importante ville étudiante). Ce sont des petites rues, des arcades, super sympa ! En tout cas j’ai passé toute la journée en tee-shirt et j’étais loin d’avoir froid, pas un nuage dans le ciel !
Ensuite nous avons repris le camion pour aller faire un tour à Livourne. Un constat : beaucoup moins touristique. C’est un port industriel et une ville moderne. Sur le bord de mer une imposante caserne militaire. Une immense promenade aussi, royaume du pousse-poussette ! Beaucoup beaucoup de monde. Ensuite, le centre ville, pas exceptionnel.

Dimanche, je suis allée naviguer. Cette semaine c’était parfait. Pourtant en me levant j’avais un peu peur de me lever encore pour rien (jamais 2 sans 3, non ?). Il n’y avait pas l’air d’y avoir beaucoup d’air.
Et puis finalement ça s’est levé doucement jusqu’à 15-18kn pendant la manche. Et pour une fois je vous raconte pas, je vous ai ramené des photos, plus intéressant non ? Juste un truc assez rare, on a vu ‘una piccola tortuga’ qui sont communes dans les eaux siciliennes mais pas dans le golf. Elle est passée (ou on est passé, je sais pas) trop vite pour avoir de le temps de prendre une photo, dommage !

A+ pour+

Un petit voyage en italie?

Si l'envie vous prend de venir me rendre une petite visite, surtout n'hesitez pas! Vous êtes les bienvenus. Et d'ailleurs pour aider ceux qui m'ont deja demandé voila quelques informations utiles:

*Pour le train:
-commencez par aller cliquer sur Arthésia. Des infos utiles. Vous verrez notamment qu'il est possible de partir de Paris, Dijon ou Lyon. Arrivée à Florence. C'est le plus pret de chez moi. Ensuite, soit prendre un autre train, soit me demander gentillement: et oui moi aussi j'ai envie d'aller visiter Florence, y a moyen de moyenner!
-ensuite vous etes redirigés vers la SNCF. Ce sont des trains de nuit, ils partent de bercy à 19h, sont a dijon a 21h41 et un peu pus tard encore à Lyon. Et magie, le lendemain matin (train couchette) vous vous reveillez à Florence à 7h16.
Depuis Paris et sans aucune reduction, le billet aller coute 85€. Il y a des trains tous les jours.
Pour le retour, disons un dimanche soir: vous partez a 20h53 de Florence et a 9h10, vous etes frais pour aller travailler à Paris. Le billet est aussi à 80€. (Il y a d'autres horraires qui permettent d'arriver un peu plus tôt mais qui necessitent un changement à Milan et qui sont plus chers).
En tout cas pour ceux qui voudraient prendre le train, il faut vraiment passer par Arthésia c'est le moins cher et le plus pratique. Il faut aussi penser à aller voir leur page promo, en ce moment il y a des billets pour Turin à 35€, il y en aura peut etre bientot pour Florence, qui sait!

*Pour l'avion:
-Easy jet au depart d'Orly semble être le moins cher. Et pour l'avion plus on reserve tôt moins c'est cher! Il vous en coutera quand même dans les 200€ pour un aller simple, d'accord ca met que deux heures mais a mon avis le train est bien meilleur marché.
Apres il faut voir, il y a aussi des avions qui partent de nantes pour Pise et surement aussi vers d'autres villes francaises, a voir!

*En voiture:
-je vous le conseille pas a moins de venir à 5 et de venir une semaine! Depuis Lorient (en passant par Auxerre, puis Montpellier, c'est pas très direct on est bien d'accord), ca m'a couté 350€ pour l'essence et l'autoroute et en cumulé, 2 jours et demis de route...

A+ pour+

follonica

Misfortuna

Je devais naviguer ce week-end. Vendredi aprem entraînement et samedi-dimanche match race (cf le truc que je vous ai expliqué il y a deux semaines).
Vendredi on est sorti entre 14 et 17, il y avait du vent et il a molli ensuite, la sortie était sympa.
Samedi, RDV à 9h30 au club. Mais trop de vent (plus de 30 nœuds), donc à part un petit tour de First 47,7 (au moteur) pour aller voir ce qui se passait dehors, on a attendu jusqu’à 16h que le comité annule la journée. Du coup je suis rentrée à l’agriturismo puis allée courir une heure histoire de me défouler un peu. Je suis partie dans le royaume des ‘Robin des Bois’ (cf vélo de la semaine dernière) Le soir on a été manger dans un resto à Follonica avec les mecs avec qui j’aurais du naviguer. Délicieux « l’antipasto de pesche crudo » puis le « julienne di calamari fritti con pomodoro verde » (ou un truc du genre). Et tiramisu en dessert. Merci à eux 4.
Dimanche RDV à 8h30 mais en me levant déjà je voyais ça mal barré, ça semblait pas mieux qu’hier. Je suis quand même allée au club, un zodiac avec le jury était sorti pour voir, ils reviennent annoncent 33noeuds, et annulent la journée. A 10h, retour à la maison. Du coup je me suis recouchée 1h… Après mangé (vers 15h) j’ai pris mon vélo et je suis allée faire des kilomètres ‘faciles’. Autrement dit je suis pas partie du même coté que la semaine dernière, mais par la plage (j’étais sure qu’il y aurait moins de dénivelé !). J’ai ensuite suivi la promenade du bord de mer, aller retour 35km.

A+ pour+

the sun is shining!

Vendredi j’ai fini de travailler à 13h. Je suis rentrée à la maison, j’ai mangé et à 14h j’ai enfourché mon vélo. Et l’objectif était d’aller voir ce qu’il se passait dans les collines derrières et d’essayer de retomber à Scarlino, quitte à monter autant tout faire d’un coup. Se proposaient à moi trois chemins, sur ma carte il n’y en avait que deux. Allez c’est bon, la carte ça sert à rien, je vais y aller au feeling. J’ai pris celui du milieu. Je me suis retrouvée sur un espèce de parcours de ‘Robin des Bois’. ‘Attenzione Tiro de la Campagna’ au début je savais pas bien ce que c’était et puis en observant, je me suis rendue compte que c’était un parcours de tir à l’arc. Et c’est à cause de ça que j’ai rencontré ma première faryeur : un grizzli ! En m’approchant je me suis rendue compte qu’en fait il avait déjà ‘mouru’ plus d’une centaine de fois, mais quand même faut pas être cardiaque… Ca faisait que deux km que j’étais partie et la montée était raisonnable. Pour le troisième en revanche ça à pas été facile. Un chemin abrupte et raviné, j’ai tout monté à pied et j’ai cru que j’allais mourir pour la deuxième fois en une heure. J’ai aussi failli faire demi-tour, mais non, la persévérance ça paye toujours ! Et ça a mis du temps. Quand j’ai regardé l’heure une fois arrivée en haut, ça faisait déjà une heure, et que 3km, et ben c’est pas gagné ! J’ai quand même décidé de regardé la carte, ah 355m ! Sachant que si je dis que j’habite à 30m au dessus du niveau de la mer, ça fait 325m de dénivelé positif en 3km ! Je retrouve ensuite un chemin qui a l’air plus ‘cyclable’. Scarlino doit être dans cette direction ça tombe bien. Mais ça continue de monter. La carte indique un sommet à 545m, je suis sure de ne pas être allée jusqu’en haut, j’ai repris le chemin de la descente avant mais j’ai du monter entre 400 et 450m. Et puis j’ai trouvé un chemin qui redescendait…Enfin ! Il est ‘un chouille’ pas grand chose moins pourri que celui de la montée, descendre en vélo, ça le fait presque partout. Mais je commence à entendre des bruits de tondeuses… non pas ici, c’est pas possible ou alors ça raisonne cette vallée. Et puis non en fait ce sont des motos cross. Bon elles sont ou devant ? Derrière ? Sur un autre chemin ? Faut que je me gare ou pas, parce qu’une chose est sure, moi je sais qu’elles sont là, mais elles savent pas que j’y suis aussi. Et finalement, juste dans un virage en épingle à cheveux, je me suis garée juste au bon moment, deux fous qui montaient… Ouf, j’ai eu chaud. Oui c’est vrai d’ailleurs, j’ai transpiré en montant et maintenant je suis trempée et j’ai froid, ça craint.
Finalement je retrouve un chemin carrossable et des traces de voitures, je suis en bas de Scarlino, zut j’ai tapé trop bas, il faut remonter pour aller au château.. un peu de courage, ce sera moins pire que de tout remonter la prochaine fois !
Et finalement, je suis au château à 16h, 11km et au moins 450m de dénivelé (voyez à ce sujet la vidéo).
Je rentre en à peine une demi-heure à la maison par la route. Total 18km. (plus quand même les 12 pour aller au chantier le matin).

Samedi. J’ai un peu flemmardé et j’ai dégourdi les roues de mon camion en allant le promener à Massa Maritima. Ca ne me surprend plus maintenant : village fortifié, perché sur une colline. Avec son Duomo, cette ville ressemblerait presque à un mini Sienne. Ce sera tout pour aujourd’hui.

Et samedi soir la lune avait rendez vous avec l'ombre de la terre, on appelle ça: une éclipse! Qui a vu?

Dimanche : nav sur Scorpio (le bateau d’il y a deux semaines). On a commencé par attendre une demi-heure deux équipiers qui n’en finissaient pas de ne pas arriver. Finalement on va sur le rond au moteur, pas de vent ! A 11h, ils envoient un retard, je m’endors au soleil sur le pont, j’ai un vieux coup de soleil, je suis verte (ou plutôt rouge !). Et puis finalement, ça part avec du ‘very light wind’, c’est un peu relou. Enfin c’était sympa quand même, et désormais ma crème solaire sera à poste dans mon sac à dos…

A+ pour +

Je travaille aussi un peu

On m'a reproché de ne pas parler de mon boulot... croyez pas que je sois en toscane simplement pour le tourisme ou naviguer... non non ça c'est le week end!

La semaine je travaille dans ce chantier

Pour en savoir plus vous pouvez aller visiter leur site internet en italien ou en anglais. Pas de version francaise à ma connaissance!

On partage donc un bureau à l'interieur du chantier, mais pour mon stage je suis employée par 'Sixteam'.

Petite paranthèse: Oui je suis encore en stage, c'est le dernier d'accord mais stage quand même. En parlant de ca, je viens juste de recevoir les notes de mon semestre: j'ai des notes de 5.5 (bouhh) à 16 (quand meme) et le tout fait une moyenne de 11.9 (pourquoi pas 12,, c'est pô juste!). Mais en fait on s'en fout, les notes maintenant ca sert plus à quoi? Rien on est bien d'accord. Fin de la parenthèse.

Je travaille donc sur le projet de 60 pieds IMOCA pour l a Transat Jacques Vabres qui partira en novembre 2007 et le Vendée Globe notamment qui partira en novembre 2008.

Le bateau s'appelera Groupe Bel vous savez, la vache qui rit, le babybel et compagnie, et bien c'est eux. Vous pouvez aussi jetter un oeil ici.

Le skipper, Kito de Pavant, est un suddiste, un ancien du Figaro et il a aussi son site web.

*Vous y trouverez les news, avec une photo du demoulage du moule de coque. L'opération a nécéssité une matinée, deux grues et le tout est impressionnant.

*Ainsi que des portaraits de Kito et du team.

*Des infos sur le bateau, et une photo de ce que sera peut-etre la déco finale!

*Et plein d'autres choses encore...

Bon et bien, avec tout ça vous avez de quoi vous occuper tout le week-end, mais lundi et mardi il y a les gens de la communication du Groupe Bel qui viennent ainsi que Kito et d'autres membres de l'equipe, et puis mardi les architectes... les sites seront donc surement remis à jour ensuite, il faudra y retourner!

A+ pour+